Je me remémore, lorsque j'ai le nez dans mon écharpe pour échapper au froid du vent, mes étés, à la maison, sous le platane.
Je sais que c'est bon de siroter du sirop, ou du coca, à l'ombre, avec comme fond sonore les cigales hurlantes.
Le maillot de bain ou le short est de sortie, mais on transpire quand même à grosses gouttes, et c'est délicieux.
Si la tête vient à tourner, il suffit simplement de rentrer dans la maison, qui elle est restée fraiche, d'une fraicheur matinale. S'allonger sur le divan, et lire un livre, en attendant qu'il fasse plus frais.
Le hamac est dans la pinède, et lorsque le chapitre sera fini, j'irais m'y installer. Je ne ferais rien, à part écouter et laisser le temps s'écouler.
Le soir, le diner se prends dehors, et on reste longtemps à table. Si le soleil se couche, on allume une bougie. Il fait toujours aussi bon, on ouvre les volets et les fenêtres pour laisser le frais de la nuit rentrer dans les chambres. Les grillons succèdent aux cigales, c'est paisible. Une bière est la bienvenue.
Aller se coucher, tout est calme. Demain matin, un petit déjeuner accompagneras la première bronzette.
je.craque.et.cri.et.croque
Je craque, je cri, je croque
Jeudi 12 février 2009 à 19:32
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