je.craque.et.cri.et.croque

Je craque, je cri, je croque

Dimanche 14 juin 2009 à 15:38

Ne pas céder à la tentation de rentrer dans un certaine case, voilà qui parait simple mais qui est en fait pas si facile que ça.

C'est facile de ne rien faire, de bronzer les doigts de pieds en éventail.
C'est facile de regarder une vidéo, la télé, de lire un livre et de dire à la suite de cela " il faut changer ça ! ".
C'est facile de critiquer les gens..
C'est facile d'aller boire un verre et de finir ivre en se disant que la vie est belle.
C'est facile de rêver à la révolution et à un monde nouveau.

Mais c'est déjà plus difficile de se donner les moyens de le changer ce monde, de tout faire pour arriver à son idéal de vie.
C'est déjà plus difficile se s'autoriser à réfléchir vraiment du comment agir.
C'est déjà plus difficile de se réveiller de cette sieste, encore grisée.
C'est déjà plus difficile d'être droit, juste et sincère.


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Lundi 18 mai 2009 à 0:18

Tu as vu, comme c'est fou la vie parfois. Non, mais est-ce que tu te rends compte. Encore un peu et je me faisait écraser, et je n'allais pas prendre le bus. Si je n'avais pas écouté les caprices de Lisa nous aurions été sur une autre plage. Toi tu ne connaissait pas le nom de Montpellier, habitant à l'autre bout du monde, mais il a fallut que tu débarques, sur cette plage, conseillée par une mamie. En vélo, en plus !
C'est ces hasards de la vie, mystérieux mais excitants qui font que nous nous sommes rencontrés. Je sais bien que personne ne peux comprendre ce qui nous est arrivé, j'avoue que même moi je vois ça de loin et de flou. Voilà une semaine presque que je t'ai dis au revoir. Et cette osmose, tu te rends compte.
Oui, tu as raison, qui l'eut cru que nous ne nous connaissions que depuis 24heures, ce jour-là ! Oui, tu as raison, c'est fou ce que les gens ont dit après le concert : " Vous n'avez rien suivit vous hein !" " C'est beau l'amouuur". Toi & Moi sans rien autour. Au milieu d'une rue ou d'une foule, il n'existait que Toi & Moi. Je sais que je m'en vais, tu m'as dit, mais tu es le genre de personne qui me correspond et dont je peux tombé amoureux. J'ai 21 et je ne connais rien de la vie, mais je la connais assez pour savoir que ce qui nous arrive est exceptionnel. Tu bouleverse ma vie, là ! ... Hé, bonhomme, tu crois pas que tu bouleverses la mienne aussi ?!
Mais c'est ça, la rencontre qui chamboule, qui remet les idées en place, qui donne une meilleures vue, comme de jolies et bonnes lunettes, et qui permet de se remettre en question. Finie la vie grise et le train-train, bienvenue à l'amour et la folie ! Je ne suis pas triste, tu es parti, et c'est la vie. Pas une larme mais des sourires sans fins, et des mercis pour tout ! 5 jours de toi, inconnu-connu, et je crois que tu m'as changé. A ce que tu m'as dit, j'en ai fait autant. Parfait. Ravie. Heureuse.
Mais j'ai rendu malheureux quelqu'un, qui ne le méritais pas. Parfois pour vivre son bonheur, à soi, il faut accepter de décevoir des gens et de casser leur rêve. Me voilà éveillée, j'espère ne pas me rendormir. Ta beauté était folle, des sourires et des regards qui j'espère sont gravés la-haut.
J'ai tout de même le minime espoir d'avoir un jour un appel d'un numéro inconnu, ta voix, et un "Pars avec moi en Italie" à défaut de ne pas avoir pu te rejoindre en Espagne.


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Samedi 18 avril 2009 à 19:32

Baiser d'un soir, espoir.
Soupirs.
Tant pis.
J'y pense.
Comme si j'avais rien vu.
Dans ma tête, allège mon corps.
Sauf le décor.
Même plus des mots.
N'en finisse plus.
Deviens un jeu.
Oui.
Moi ça me rend fébrile.
Mal à l'aise.
Partager ta vie.
Vie de bohème.

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Jeudi 26 mars 2009 à 16:47

Alors voilà. Je pensais que ça se finirais en cris, mais ça s'est fini en embrassades sur le quai.
Puis plus rien. Silence Radio.
Tu es resté un magicien jusqu'au bout,
qui est rentré dans ma vie comme par magie, et qui en repart aussi vite,
en un claquement de doigts.
Et Hop, partir c'est mourir un peu, c'est surtout disparaitre, faire oublier son existence.
J'avoue j'ai eu mal. Au coeur.
Il était sérré.
Faut dire que t'as fait fort, une déclaration d'amour une semaine avant ton départ.
Alors qu'on avait décidé que ça se terminerais.
Pourquoi ces mots doux qui font tant de gros maux ?
Je t'en veux, tu n'as fait des efforts qu'à moitié.
Mais je dois tenir mes promesses.
Ne penser qu'aux belles choses.
A nos débats, à nos concerts, à nos chansons, à nos fous-rires.
Alors Merci. Mais Merde.
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